"C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants" (Stanislas & Calogero / "La débâcle des sentiments").nnTrès vite, j'ai compris que L'amour (presque) parfait n'était pas une série pour moi, mais pas pour les raisons que vous pensez.nEn effet, cette absence d'intérêt n'est pas vraiment dû à la qualité intrinsèque de la série mais plus à ce qu'elle est, à savoir une comédie romantique, loufoque et avec de nombreux quiproquos. Ce côté romance associé à cet humour malaisant (avec lequel j'ai du mal) m'a rendu le visionnage assez difficile. Ca, c'est pour la girl power de la mini-série.nnCar y'a également toute la partie autour de l'histoire LGBTQI du personnage interprété par Tom Leeb, car là, clairement, c'est beaucoup sympathique (et me correspondant ^^). Premièrement, c'est sobre ( sérieux, moins barré et réaliste), deuxièmement, l'intrigue est est assez bien dosée et intéressante, et troisièmement, y'a Tom Leeb. En du fait qu'il joue bien et que ce soit le personnage le supportable (en même temps, c'est le seul en retenu et qui a de vraies parties dramas), il est plus que sexy..et j'vous cache pas que j'ai du mal à me remettre du culcul du fil de Michel Leeb ^^nEn tout cas, outre ce détail (non négligeable vous l'aurez compris ^^ ), moi qui m'intéresse de près aux intrigues LGBTQI dans les séries (j'en ai vu pas mal), celle-ci est originale que la moyenne et a le mérite d'exister. C'est rare de voir ça dans le milieu sportif et dans une série française qui plus est.nnBref, hormis le "segment" avec Tom Leeb, c'est pas une série pour moi mais si vous aimez les comédies romantiques et l'humour "gaffeur" à la Bridget Jones, alors L'amour (presque) parfait devrait vous plaire.nnNotes entre 13 et 14nMoyenne 13.42/20